Le palfrenier-soigneur
C'est un des métiers du cheval les plus classiques. Pour celui ou celle qui aime le contact direct avec les chevaux, c'est une profession qui peut offrir des places stables si l'on est sérieux et si c'est une passion ! Le palfrenier-soigneur a davantage de responsabilités que le palfrenier.
Formations :
Les métiers de palfrenier et palfrenier-soigneur se préparent de diverses manières: écoles et lycées agricoles (orientation à l'issue de la quatrième et de la troisième), formation dans les écoles des Haras ou les maisons familiales ... De très nombreuses filières permettent d'accéder à ces deux métiers.
Le palfrenier soigneur
doit savoir intervenir pour les premiers soins d'urgences:
Débouchés :
Le
palfrenier-soigneur aura un statut de salarié, et pourra être embauché
dans une écurie de sport, un club hippique, un élevage...
La rémunération dépend étroitement de la loi de
l'offre et de la demande: de nombreux palfrenier-soigneur sont obligés
de débuter comme simple palfrenier.
Les filles sont favorisées ! Les bonnes soigneuses, expertes en petits soins vétérinaires et en toilettage (tout en sachant conduire un camion !) échapperont à l'aspect trop physique de ce métier, et pourront se faire une place dans une écurie de sport, où l'on appréciera leur rigueur et leur sens du cheval. De nombreux chevaux ont leur soigneuse attitrée, qui sait les comprendre comme personne ! Cette sensibilité féminine est très recherchée dans les écuries de haut niveau. |
Exercice :
C'est un métier physique parfois dur : le palfrenier-soigneur doit, en principe, superviser le travail des palfreniers mais il ne doit pas craindre de manier la fourche lui-même, surtout s'il travaille dans une écurie d'importance modeste. Heureusement, il y a aussi les soins aux chevaux, qui demandent compétence et sens de l'animal, dévouement et disponibilité.
Ministère de l'Agriculture, service de
l'enseignement technique et des formation professionnelles: |